J'ai également trouvé ceci d'assez bien fourni en commentaire sur cette page:
http://www.alterinfo.net/Chemtrails-Presentateur-meteo-denonce-les-epandages-aeriens-_a44886.html

CONTRAILS : Depuis des lustres, nous avons pris l'habitude de voir dans le ciel des traînées blanches lors du passage d'avions à haute altitude.
Ces traînées blanches - en anglais contrails (traînées de condensation) -
dépendent essentiellement de deux facteurs :
l’humidité ambiante et, la température,
et peuvent être constituées de fines gouttelettes d'eau condensées, ou bien de cristaux de glace.
Au niveau du sol, ces traînées peuvent apparaître en climat extrême (Antarctique, Sibérie) et constituent un sérieux handicap pour la circulation aérienne.
En altitude, ces conditions se retrouvent régulièrement à partir de 30 000 pieds, et les traînées peuvent rester visibles plusieurs minutes avant d'être peu à peu dispersées par le vent. Ces contrails, n'étant formées que de molécules d'eau, sont parfaitement inoffensives.

CHEMTRAILS : Depuis quelques années (cinq ou sept ans), des Observateurs Américains ont commencé à noter la multiplication de traînées d'un genre nouveau : elles apparaissent à plus basse altitude, parfois même au ras du sol, elles peuvent être blanches ou colorées, elles s'estompent très lentement pour donner un brouillard dans lequel on peut retrouver des particules ou des filaments.
Fait important : ces Observateurs ne sont pas des râleurs professionnels ou des ufologues patentés, mais plutôt des Amateurs d'Aviation ... et des gens chez qui ces épandages provoquent des irritations oculaires ou bronchiques, allergies, et fatigue.
Et c'est sur des critères de Santé Publique que s'est créé un réseau d'Observateurs de CHEMTRAILS (traînées chimiques) extrêmement actif sur Internet.
Vous remarquerez que les traînées viennent de 2 bouches qui n'ont rien à voir avec les réacteurs.
**Pourquoi ces épandages ?
Dans un premier temps, les (IR)responsables tant Civils que Militaires des Affaires Aériennes, ont évoqué une normalité absolue de ces phénomènes :
à ce que vous appelez traînées chimiques, ne sont que des volutes de condensation". Sans expliquer pourquoi ces traînées se croisent souvent comme si les Aviateurs jouaient au morpion.
Une autre tentative de justification fut le délestage de carburant dans certains cas d'atterrissage forcé. On veut bien l'admettre dans certains cas précis et, bien sûr, répertoriés, mais pas systématiquement et encore moins en croisant les trajectoires.
Et puis, il y avait ces substances étranges flottant dans l'air, comme des toiles d'arraignée très ténues, et qui se liquéfient au contact du sol.
Certaines analyses firent apparaître des substances biologiques, des sels de baryum. Et puis, hystérie collective ou réalité chimique, ces centaines de malades mis à mal dès le lendemain de ces phénomènes...
De guerre lasse, les Autorités ont stoppé toute discussion et les chemtrails ne constituent ni un sujet d'étude Scientifique, ni un thème de Débat.
Et les évènements du 11 septembre 2001 n'ont rien fait pour arrondir les angles, alors que bizarrement, les Avions Civils étant cloués au sol pendant plus de quinze jours, des CHEMTRAILS étaient toujours observés.
La notion de Sécurité prime sur toute considération, et les Citoyens trop curieux sont considérés comme de mauvais citoyens ...
Devant une telle attitude, il est normal que les pires craintes se transforment en quasi- délires : on trouve sur le web , des Chercheurs qui défendent des théories effrayantes, qui vont globalement dans trois directions : (note de Nenki : dans mon livre "CHEMTRAILS: les tracés de la mort" je démontre les 8 agendas qui se cachent derrière les chemtrails).
- La modification de l'atmosphère et des conditions météo. On sait depuis longtemps ensemencer des nuages pour les rendre pluvieux.
Les chemtrails permettraient, avec l'Action conjointe d'ondes électromagnétiques, d'agir sur toute l'atmosphère et de gérer entièrement le climat.
- Le contrôle de la population. La Terre est trop peuplée.
Les Militaires apprendraient à moduler le Statut Sanitaire de populations entières.
Seuls les élus auraient l'antidote.
- La Protection Civile par le ciel, théorie inverse de la précédente : les Militaires expérimenteraient des moyens de protection biologique, car la prochaine Guerre ne sera plus conventionnelle, mais biologique.
Ainsi, aurait été expérimenté l'hiver dernier un vaccin en SPRAY pour protéger d'une éventuelle épidémie de grippe. On est en plein épisode d'X file !
Sur ce dossier, nous pensons que le problème est réel, mais qu'il n'a aucune implication biologique directe : c'est bien l'atmosphère et ses propriétés physico-chimiques et ,par là même, de conductibilité électromagnétique qui semble être l'objet d'une gigantesque expérimentation. Avec deux objectifs avoués :
- La gestion globale et locale des conditions météo.
- L'amélioration des capacités de conduction des ondes électromagnétiques pour des besoins Civils ou Militaires, en relation avec le programme HAARP - High Frequency Active Auroral Research Program - développé officiellement en ALASKA.
Un critère commun à toutes ces Recherches :
trouver des substances très actives faciles à disséminer, permettant d'induire des modifications atmosphériques avec le minimum d'énergie mais aussi avec le minimum d'effets secondaires ( ?) sur les populations.
Action sur les rayons ultraviolets.
Si les Ecologistes mettent un accent particulier sur les déchirures de la couche d'ozone, les Météorologues comme les Militaires ne sont pas en reste pour tenter de comprendre et de trouver des solutions.
L'ozone est synthétisée en permanence dans la stratosphère par l'action d'UV durs sur l'oxygène. Les UV étant constants, l'ozone ne devrait pas manquer. Pourtant, de nombreux gaz tels que le chlore, produits par des effluents de l'Industrie humaine, peuvent réduire l'ozone et endommager la fine couche à la fois très fine et très labile de cet élément essentiel à la Vie sur Terre.
Donc, il se pose une question très simple pour des Responsables Scientifiques et Militaires : peut-on substituer à la couche d'ozone défaillante, un procédé permettant de réfléchir les UV solaires, protégeant ainsi les territoires sous-jacents ?
(Note de Nenki : remarquez sur l'animation, comment la terre est obscurcie et comme protégée des rayons du soleil même s'il n'y a pas de nuages).
Et, si c'est possible, peut-on détruire à distance la couche d'ozone chez l'ennemi, qui lui, n'aurait pas de parade et " grillerait " littéralement. .. et ceci sans avoir à faire la Guerre ?
Dans le rôle de ce filtre, ce sont des métaux légers et réfléchissants qui semblent avoir été choisis, tels que l'aluminium et le magnésium, sous forme d'aérosols, pour être largués à haute altitude (plus de 10 000 mètres).
Si les effets physiques constituent un Secret Militaire, l'Action Biologique de ces particules, à long terme et sur des populations sensibles, peut être évoquée dans les allergies diverses, des myalgies, et la Maladie d'Alzheimer.

Le Programme H A A R P.
Le projet repose sur un postulat qu'avait déjà posé Nicolas TESLA au début du siècle, et repris sous forme d'un Brevet en 1985, et qui veut qu'on peut contrôler les couches supérieures de l'atmosphère grâce à des puissants faisceaux d'ondes radio convergentes. En jouant sur la température de ces zones très actives, on peut contrôler, voir inverser les flux d'air, et modifier le climat.
L'utilisation de sels de baryum et de polymères très hydrophiles, permettrait de garder des zones entières très humides, et de les chauffer avec des ondes électromagnétiques.
D'ailleurs, Bernard Eastlund, inventeur de H A A R P, a admis qu'il s'était inspiré des travaux récents sur les additifs polymères utilisés en charcuterie, pour absorber les micro-ondes et permettre un réchauffage uniforme des plats préparés...
Un ciel ainsi " dopé ", pourrait donc réagir à des sollicitations électromagnétiques provenant de la terre, du ciel (satellites) ou de l'air (émetteurs embarqués sur des avions). Avec des conséquences diverses, mais bien gérées, comme le détournement d'ouragans ou de tornades...vers des zones désertiques ... ou chez le voisin, l'assèchement de zones entières, ou au contraire la précipitation immédiate et intense de toute l'eau du ciel.
On comprend que ces Recherches soient tenues secrètes, car on peut imaginer au passage les dégâts sur la fragile couche d'ozone, de telles énergies expédiées dans le ciel...
Autoroutes de l'info dans le ciel.
Avec Radio Frequency Mission Planner, l'Armée Américaine est en train de développer un concept de gestion des batailles tout à fait innovant et efficace il s'agit d'intégrer dans un réseau de type intranet, toute les informations concernant un lieu de guerre, provenant à la fois des satellites, des avions d'observation et des observations au sol, robots ou fantassins.
L'ensemble de ces données est traité de manière diffuse (comme sur Internet) et disponible en tout point de la bataille : chaque acteur peut connaître, et en trois dimensions, l'état exact des combats, l'état des troupes et des matériels.
Une console mobile est déjà en service, c'est " l'Interactive data wall " (le mur de données interactives).
Comme dans les jeux de console, de puissants logiciels ont accumulé des données qu'on peut à tout moment consulter, sous forme de scénarios virtuels de type " what if" ( que se passe t-il si je...) permettant d'optimiser les prises de décisions.
Un essai grandeur nature a eu lieu le 20 mars 2001 en Caroline du nord, mettant en manoeuvre 26.000 hommes répartis sur sol et sur mer, autour du porte-avion USS Enterprise. Au cours de ces manœuvres, des observateurs civils ont noté la mise en place de nombreux CHEMTRAILS, ainsi que la présence de sels de baryum dans l'air.
Pourquoi des sels de baryum ?
C'est que pour un système multimédia qui gère autant d'informations " lourdes " simultanées, il faut une capacité de communication très importante, à la fois en volume de flux et en vitesse de conduction.
Sur le champ de bataille, il n'y a pas de fibres optiques ... on ne peut compter que sur l'air ambiant comme support des ondes électromagnétiques.
Et c'est là que la pulvérisation de sels de baryum s'avère très efficace, ils permettent de garder en altitude de l'air à la fois humide et ionisé, un merveilleux support et une véritable autoroute pour transporter des données digitalisées.

THE PLASMA FREQUENCY: RADAR APPLICATIONS.
Ici l'image radar d'un ciel sans conduction, c'est-à-dire sans l'éparsement par vaporisation de chemtrails de particules de barium et autres composés.
Remarquez la fluidité de l'image floue captée par le radar / satellite.
Ici le ciel est rempli de conduction ou particules qui le rendent conducteur. L'image est beaucoup plus nette et les lignes circulaires à gauche sont beaucoup plus précises et découpées. Des couleurs de zonages apparaissent à droite qui ne figurent pas sur l'image sans conduction du haut.
Sur ce graphique vous avez une idée comment les ondes de propagation RF des réseaux rebondissent sur l'ionosphère et sont connectées entre eux sous la couche atmosphérique.
D'ailleurs, les premiers chemtrails ont été observés en CROATIE dès l'intervention de l'O.T.A.N., et des photos-satellite ont pu détailler certains épandages au-dessus de l'IRAQ.
Il existe plusieurs types de baryum qui ont, sans doute, des fonctions spécifiques selon l'altitude ou l'utilisation envisagée.
Parmi ceux-ci, le Stéarate de baryum permet de créer une véritable émulsion savonneuse dans les nuages, entretenue par les vents et qui stagne dans l'air plusieurs heures avant de retomber sous forme de filaments gluants.
Si de telles quantités de baryum sont envoyés dans l'atmosphère, il faudra bien trouver des explications lorsque leur présence sera authentifiée et reconnue.
Selon les Organisations Ecologistes, la réponse est déjà toute prête : ce sont les CentralesThermiques à charbon qui crachent ce baryum, élément contenu par traces dans les végétaux du carbonifère, et on en avait jusqu'ici tout simplement oublié de le mesurer...
Le pire c'est que la pilule risque de passer, comme était passée la fable du " fluor qui est bon pour les dents " dans les années 1950, lorsque l'Industrie Américaine contaminait des régions entières pour l'extraction de l'uranium et du plutonium.
Article de Robert Velay pour EFFERVESCIENCES n° 22 Éditions MII)INNOVA -

L'article ci-haut parut dans la revue "UNDERCOVER", une publication de Joël Labruyère.

Quelques photos : Plein gas sur la ville. Avion nolisé blanche sans marque d'identification. Oups ! J'ai manqué de vaporisateur et j'ai dû changer de bonbonne de chimique !
Pour plus d'informations, Lire : Livre de Nenki **CHEMTRAILS - Les TRACÉS de la MORT.
À paraître chez Louise COURTEAU - Éditrice.

LISTE DE CERTAINS AGENTS et BACTÉRIES DÉCOUVERTS DANS LES ANALYSES.
Traduction française : Myriam.
1) Bibromure d'éthlylène (bibrométhane) - Interdit en 1984 par la commission pour la protection de l'Environement (EPA), le BBE (C2H4Br2) est un additif cancérigène que l'on trouve dans les carburants et un insecticide dont l'odeur ressemble à celle du chloroforme. Il serait semblable à l'iodure d'argent qui fut utilisé pour provoquer la formation de nuages dans le but de modifier les conditions météorologiques. Après absorption, le BBE provoque une dépression du système nerveux central et un œdème pulmonaire, qui est une accumulation de liquide dans les poumons. Les symptômes de l'œdème pulmonaire se traduisent par un manque de souffle, de l'angoisse, une respiration sifflante et des quintes de toux. Ce produit est extrêmement irritant pour les muqueuses et les voies respiratoires. (Sans farcet, je l'ai eu moi-même et ça brûle en "sapristi") .
2) Pseudomonas aeruginosa - Une bactérie robuste, très répandue, que l'on trouve dans la boue (ce qui semble indiquer la possibilité d'une contamination des échantillons de sol de traces chimiques) mais que des laboratoires comme PathoGenesis obtiennent communément par manipulation génétique dans diverses optiques. Ce sont les souches naturelles qui ont été découvertes dans l'eau potable et les hôpitaux contaminés. (L'eau potable:propriété nationale bientôt, vous verrez...) Aprés inhalation par des sujets souffrant d'immunodépression pulmonaire comme les victimes de la muscoviscidose, elle forme des biofilms, amas gluants qui constituent des abris virtuels contre les attaques défensives du sytème immunitaire et des antibiotiques.Elle peut transférer horizontalement, c'est-à-dire d'une espèce à l'autre, des informations génétiques à son hôte par transduction et conjugaison.La conjugaison est lorsqu'une bactérie injecte un matériel génétique connu sous le nom de plasmide, par "établissement d'une liaison", dans la cellule hôte qui le reçoit et l'inclut à son propre ADN. La transduction est un procédé similaire, mais au lieu d'injecter un plasmide, la bactérie envoie des bactériophages (virus) qui contiennent des fragments d'ADN de la bactérie d'origine et les implantent dans l'ADN de la cellule hôte. (Et voilà, ça commence à s'éclaircir...) !
3) Pseudomonas fluorescens - une autre souche de la famille des Pseudomonas (c'est toujours une bactérie) que l'on trouve le plus souvent dans la terre et sur les plantes. Sur ces dernières, elles produisent des antibiotiques qui les protègent des infections fongiques et bactériennes. Vraisemblablement un contaminant selon l'analyse. (Toujours intéressant mais ce n'est qu'un contaminant).
4) Entérobacteries - Comprennent le E. coli et la salmonelle qui sont les principaux responsables dans les cas d'empoisonnement alimentaire. (C'est pour vous dire qu'on en parle et en trouve dans la province des cas "isolés" depuis des années, mais ce doit être normal ou naturel, hey?). Le plus intéressant de la familles de entérobacteries est le genre Klebsiella, dont l'espèce est à l'origine des pneumonies infectieuses. (Ha! Ha! là ça commence à m'intéresser...retenez le nom de ce gène qui n'est pas trop gêné..).
5) Serratia marcescens - un dangereux pathogène qui peut provoquer des pneumonies. (Comment s'appelle cette grippe que vous avez ? Les médecins n'en savent rien et continuent de vous injecter (pas moi, les amis) avec "leurs" antibiotiques et pilules bidons par bidons, tuant à petit feu votre propre système immunitaire et tout ce qui est naturel tant qu'à y être et c'est très payant la guerre vous savez ?)
Ce lien signale que "L'une des plus grandes expériences constitua à pulvériser du Serratia marcescens au-dessus de San Francisco. Cet organisme est surtout joli parce qu'il produit un pigment rose/rouge lorsqu'on le cultive dans un certain milieu, ce qui le rend très facile à identifier. (Juste pour voir où leurs poisons sont tombés et qui les a attrappés, pour des buts expérimentaux seulement, ben voyons).
À un moment donné, 5000 particules par minute furent pulvérisées sur les zones côtières et à l'intérieur des terres. Durant ce laps de temps, 1 homme est décédé (à l'hôpital) et 10 autres ont été victimes d'une infection qui fut qualifiée de "mystère pour la médecine". Bien que les militaires ne pratiquèrent pas de suivi de ces essais, un des résultats obtenus montra que quasiment tout le monde avait été contaminé par le l'organisme testé.
Rétrospectivement, maintenant qu'une partie de ces informations a été rendue accessible, il a été démontré qu'au cours des périodes qui suivirent ces essais, on signala 5 à 10 fois plus de cas d'infections que la normale." (Cet incident est très bien rapporté et documenté et on continue de faire des expériences sur nous tous les jours).Visitez ce lien du Service de Sécurité des Renseignements Canadiens (Canadian Intelligence Security Service) pour davantage d'informations sur les essais biologiques de 1950 à San Francisco.
Pour résumer, les militaires ont déversé du Serratia marcescens sur la population de San Francisco dans le but de tester son efficacité en cas d'attentat à l'arme chimique. Une épidémie de pneumonie s'est ensuivie, causant la mort d'un homme.

6) Streptomyces - Les streptomyces entrent dans la fabrication de la majorité des antibiotiques utilisés en médecine humaine ou vétérinaire et dans l'agriculture, mais également comme agent anti-parasitaire, dans les herbicides et les métabolites pharmacologiquement actifs (ex : immunodépresseurs). (En français c'est assez évident non?)
7) Une enzyme de restriction utilisée par les laboratoires de recherche pour découper et combiner l'ADN -- une telle enzyme opère une fente dans l'ADN et permet d'y insérer les segments désirés avant de le recombiner. (Nous voici rendu dans l'assemblage génétique maintenant, les compagnies s'amusent à nos dépends...).
8) D'autres bactéries et moisissures toxiques pouvant provoquer aussi bien des maladies cardiaques, des encéphalites et des méningites que des souffrances aiguës des voies respiratoires aériennes et du système gastro-intestinal. On sait que dans les trois jours suivant une pulvérisation particulièrement importante, on observe des épidémies de maladies respiratoires au sein la population exposée. Certains développent des pneumonies, d'autres des rhumes, des symptômes grippaux et une dépression des fonctions immunitaires. (Des cas de méningites et encéphalites ont également augmenté en corrélation avec les émissions de nuages des chemtrails)
Notez qu'il n'est fait mention d'aucun virus dans la liste ci-dessus. C'est parce que les virus sont difficiles à détecter en laboratoire et plus encore à identifier. Toutefois, pour la plupart des maladies qu'ils provoquent, les antibiotiques sont sans effet.
Des points développés plus loin dans cet article indiquent que de tels virus sont vraisemblablement des rétrovirus comme l'adénovirus utilisé dans la sinistre "thérapie" génique. Divers objets, figurant dans le film vidéo de cette séance de prises de vue au microscope envoyé avec cette série, n'ont toujours pas été identifiés. Parmi eux les doubles cellules et les matériaux bleu et vert exposés ci-dessus. L'objet situé dans le coin supérieur gauche de cette série a été prudemment identifié comme étant un globule blanc. Des observations répétées de chacun des types de cellule ou d'objet montrés sur ces photos ont été effectuées et enregistrées dans la séquence vidéo
http://www.carnicom.com/east1.htm

D'après le rapport breveté :"Il a également été envisagé d'envoyer de gros nuages de barium dans la magnétosphère afin que la photo-ionisation augmente la densité du plasma froid, produisant ainsi une précipitation des électrons par interaction accrue (whistler-mode)."
http://www.carnicom.com/east1.htm
CHEMTRAILS ou ÉPANDAGES AÉRIENS CHIMIQUES ET CLANDESTINS
Le film "Bye bye blue sky" est assez explicite sur le sujet, il semble bien y avoir une pollution volontaire et organisée sous différents prétextes comme le contrôle du climat, la meilleure propagation des ondes, en palliatif au "trou de la couche d'ozone"... Sachant que les sels d'aluminium et de baryum ont tout pour favoriser la maladie d'Alzeimer, on est amené à se demander si un but second de ce projet ne pourrais pas être de favoriser le secteur médical? ou carrément de se débarrasser discrètement des populations vieillissantes et ainsi garder en caisse leurs pensions ...

Un vieux relan conspirati0nniste plane, ce qui ne change rien au fait que ces traînées sont bien là!
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/chemtrails-et-depopulation-une-136230:
Les épandages aériens de produits chimiques dans l’atmosphère ont une histoire relativement ancienne, remontant au moins au début du siècle dernier : déjà en 1927, Donald Bradner et Nicholas Oglesby déposèrent un brevet pour un système de diffusion de produits chimiques à partir d’avions. [2] Des centaines d’autres brevets en lien avec la modification du climat, qu’ils concernent de nouveaux moyens d’épandage ou de nouveaux produits chimiques, seront officiellement déposés de 1927 à nos jours, [3] les produits chimiques étant dès lors stockés au sein d’importants containers à bord des avions. En ce qui concerne les dispositifs extérieurs de vaporisation, de nombreux brevets militaires, publics et privés expliquent comment il est possible d’éjecter différents agents chimiques dans la stratosphère ou la troposphère par le biais de mécanismes complexes encastrés sur le réacteur d’avion ou intégrés directement à l’intérieur du réacteur.

Des motifs inhabituels dus aux trajectoires excentriques prises par certains avions épandeurs peuvent d’ailleurs régulièrement être observés : courbes, zig-zags, boucles, cercles... Dans le ciel de New-York, un avion alla même jusqu’à tracer le message « LAST CHANCE » (littéralement, « DERNIÈRE CHANCE ») en allumant et en coupant alternativement son système d’épandage. [4] Que ces tracés surprenants soient le fait de pilotes téméraires n’appréciant guère de déverser des produits dont ils ne connaissent sûrement pas la nature dans l’atmosphère, au risque de heurter leur hiérarchie, ne serait que peu surprenant. La question n’est donc pas tant de savoir si ces épandages existent, mais bel et bien à quoi ils sont destinés. L’une des explications les plus couramment avancées est la modification du climat : en 1946, le Dr. Schaeffer de General Electric fit en effet la découverte que le déversement d’iodure d’argent au sein des nuages favorisait les précipitations, [5] à la suite de quoi furent lancés par l’armée des États-Unis les projets Cirrus (1947-1952), Storm fury (1961-1983) et Popeye (1967-1972), qui prévoyaient notamment le contrôle des précipitations ou de la trajectoire des ouragans. [6,7,8] Historiquement, toutefois, certains de ces épandages avaient des objectifs bien différents.

En 2002, un rapport gouvernemental apporte la preuve que l’armée britannique a mené des opérations d’épandage de substances toxiques à grande échelle sur sa propre population entre 1940 et 1979. [9] De 1955 à 1963, notamment, de très importantes quantités de sulfide de cadmium zinc sont déversées le long des côtes britanniques. Il était affirmé aux militaires en charge de ces programmes que les épandages concernaient uniquement des expériences climatiques. Les États-Unis effectueront des tests identiques sur l’ensemble de leur territoire [10] : dénommés par l’acronyme « LAC » (Large Area Coverage – littéralement, Couverture de Larges Surfaces), ces programmes avaient deux objectifs principaux : tester l’effet d’une substance nocive sur une large part des populations de ces pays, et comprendre comment conduire les épandages afin d’optimiser les surfaces touchées en fonction des conditions météorologiques. Les propriétés fluorescentes du zinc permettaient à l’armée de repérer la dispersion des produits répandus depuis des bases terrestres : des particules de sulfide de cadmium zinc seront ainsi repérées à des distances supérieures à 2 000 km du point de largage. Concrètement, cela signifie que les habitants de Paris seraient concernés par d’éventuels épandages à la frontière occidentale de la Russie. Un vol de 600 km permettait ainsi le relâchement d’environ 2 tonnes de sulfide de cadmium zinc. [11] Bien que les gouvernements britannique et états-unien aient affirmé l’innocuité des substances répandues, le cadmium était déjà considéré lors de la Seconde guerre mondiale comme arme chimique par les Alliés eux-mêmes. Il est actuellement considéré comme un métal extrêmement toxique, dont les effets sur la santé vont des problèmes respiratoires au cancer en passant par l’insuffisance rénale ou les dommages au foie. [12] De 1961 à 1968, ce sont des bactéries telles que le bacille globigii, simulant le comportement de l’anthrax, et escherichia coli qui sont déversées sur les îles britanniques. Des tests similaires seront de nouveaux reproduits de 1971 à 1975, les armées britannique et états-unienne travaillant cette fois-ci en collaboration. La sociologue Lisa Martino-Taylor, ayant eu accès à des documents militaires déclassifiés, a quant à elle révélé que l'armée des États-Unis ajoutait des particules radioactives au sulfide de cadmium zinc, notamment au-dessus des quartiers populaires [13a,13b] : aucun homme politique ne fut averti de ces épandages et il était répondu aux plus curieux que l’armée testait des écrans chimiques pour se protéger contre une éventuelle attaque soviétique.

En réalité, le Département de la défense des États-Unis effectuait également de nombreux tests d’armes biologiques sur sa population en des endroits localisés – sans épandages aériens donc : le Dr. Hanley Stanson, ancien scientifique au sein de l’armée, révélera en 2010 qu’il existait bien plus de programmes que les huit officiellement reconnus en 1976 par le Pentagone. Pour la seule région de la Nouvelle-Angleterre, plus d’une vingtaine de programmes existaient dans les années 50 et 60. [14] Ce n’était pourtant qu’un début au sein des recherches sur les armes biologiques : à partir des années 70, une mini-révolution s’opéra avec, notamment, les Defense Appropriations for 1970, autorisant le déblocage de fonds colossaux pour les recherches sur les armes biologiques. Lors d’une audience devant le Congrès, le Dr. MacArthur dressa un état des lieux de la discipline qui allait selon lui passait de l’étude des microorganismes existants à la création par bio-ingénierie de tous nouveaux agents pathogènes. [15] D’après d’anciens scientifiques ayant travaillé à l’obscur Fort Detrick, le nombre de projets sur la conception de nouveaux agents pathogènes en tous genres explosa dès lors. [16] Si la vaporisation de produits toxiques dans l’atmosphère afin d’y exposer volontairement les populations civiles est un fait historique avéré et que les arguments utilisés pour justifier ces épandages aux yeux des effecteurs de ces programmes et des civils indiscrets étaient systèmatiquement la protection des populations contre l’éventuelle attaque d’un état tiers ou la modification du climat, il ne semble plus possible de considérer que cela puisse être le cas aujourd’hui. Aucune raison ne justifie pourtant que les épandages aériens furent abandonnés à la fin des années 70, au contraire.