ONT-iLS MARCHéS SUR LA NULE ???
Je ne suis pas un adepte de la conquête de l'espace, ni du vol en avion, ni du saut en parachute. Jamais je ne ferais ces choses par plaisir ou "pour le fun". "Sauter en parachute" à cependant un fondement premier sans lequel l'homme ne se serait pas tant ingénié à sa conception jusque à en faire un sport: sauver sa peau en cas de problème aérien.
Le voyage dans l'espace trouve sans doute lui son fondement dans le but de sauver une "élite" (les pires?!) à l'heure où la planète n'en pourra plus! Et le jour où la planète n'en pourra plus découlera immanquablement de ce que cette même élite-des-pires aura mis en œuvre pour arriver à s'en soustraire, tout comme le saut en parachute trouve tout son sens dans le contexte à risque depuis l'aviation...



Opération Lune (2002)

Opération Lune est officiellement présenté comme un canular. C'est sans-doute grâce à cette étiquette de "bouffonnerie" que ce film a pût être diffusé généreusement. Opération Lune nous démontre comme l'outil audiovisuel peut être manipulateur plus que de faire valoir une manipulation par son intermédiaire. Il est même révélé pour finir que certains intervenants qui semblent au fait de leur sujet soient des comédiens ayant reçu leur texte pour l'occasion. Ce qui en découle, c'est qu'on peut bien remarquer que d'autres interviews et protagonistes sont au contraire bien réels et ne pensent en aucun cas participer à une farce! C'est que cette farce n'en est pas tout-à-fait une! À la fin il est d'ailleurs bien clair qu'il s'agit de discerner le vrai du faut: il n'y a ni que du vrai ni que du faut... La partie qui tend à signifier que la nasa n'a jamais envoyé ces hommes sur la lune représente une infime partie du documentaire dans le no man's land du doute entre le vrai et le faut. De manière significative, il y a au cours du film un lent crescendo depuis des faits certifiables et prouvés vers des affabulations fantaisistes.

Le début du film nous présente unilatéralement le fait que cette aventure lunaire se devait d'être une aventure médiatique, ce qu'elle fût sans conteste. Sans prétendre dans un premier temps à une quelconque tromperie sur le contenu de la part des autorités, l'accent est mis sur le désir U.S de tenir les citoyens du monde en haleine tel qu'ils pouvaient l'être avec le cinéma de science-fiction. Si le film n'avait pris cette forme ludique dans laquelle sont avancées des inepties comme l'assassinat d'un général de l'armée u.s le lendemain de son interview pour finir avec des aveux quant à la manipulation de la crédulité du spectateur, il n'y aurait eu aucune diffusion sur aucune chaine publique! Ce prétexte du "fake" est en réalité une merveille d'ingéniosité qui laisse dupes les ânes responsables de la censure via le tout public comme nous le démontre à la fin du document l'intervention (qui ressemble à un généreux léchage de fions) au nom de la direction de canal+. En effet ce film diffusé dans le but de discréditer les détracteurs de ces "opérations Appolo" a le double mérite de mettre en garde (au lendemain des attentats du 9/11) contre la vérité subjective qui émane des médias officiels (qui eux aussi pourraient user de comédiens et de comédies pour nous berner) et celle de nous dévoiler des aspects pour le moins inédits de ce qui pouvait se mettre en pratique au niveau médiatique pour glorifier la conquête de la lune et de l'espace.

On peut lire le plus souvent parmi les défenseurs de la version officielle: "mais quel intérêt à faire un tel mensonge à l'humanité?" Ce à quoi il est répondu que le contexte de guerre-froide et de compétition avec l'URSS pouvaient pousser à tout pour marquer des points. Il est encore répondu que les énormes budgets octroyés ont d'autant plus facilement pût être détournés, que les recherches développées servaient d'office mais indirectement l'armée,... J'ajouterai à cela qu'en matière de télévision c'était encore l'époque pionnière, si on veut bien voir aujourd'hui en ce média un outil d'abrutissement et d'assujettissement des masses, un des moyens les plus sûrs pour évaluer si ce "but" pouvait concrètement être visé eu pût être de lancer un gros fake, histoire de voir si les "spectateurs" l'acceptent. La masse avait déjà montrée ses aptitude à marcher plein pot au pas de ce qui s'annonçait à la radio (Orson Welles sur CBS en 1938 crée la panique à N-Y avec sa version de "La guerre des mondes") mais ici une nouvelle ère audio-visuelle s'annonce. Et si cette nouvelle virtualité avait toujours mélangé catastrophes, banalité, sornettes et gros fake en guise d'actualités? quel mode comparatif aurait le spectateur pour déceler l'arnaque? Entretenir l'abrutissement et le faire évoluer avec son temps, faire vivre les événements par procuration d'un oeil interposé sans aucun témoin digne de ce nom pour valider l'info, mais ... mais, nous voilà propulsés de New-York le 9/11 à 2011 au Pakistan, dans la propriété exotique de Mr Benoit Ladenne !!!

http://fr.wikipedia.org/wiki/Orson_Welles

CBS CiA
http://www.bowraa.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1473:bbc-mi6-cbs-and-the-ciapartners-in-mythology&catid=59:english&Itemid=78



What Happened on the Moon ? (2000)

Sorti 2 ans avant "Operation Lune*", ce documentaire analyse sans concession différentes archives ramenées de la lune par les missions Appolo. Ce film au contraire de l'autre* ne se revendique pas de la plaisanterie, ce qui n'empêche que ce soit l'étiquette de laquelle il soit le plus souvent affublé là où on en trouve trace sur le net. Le sujet est ici franchement bien étayé et fait l'objet de minutieuses analyses scientifiques qui sont cependant fréquemment controversée et semblent inacceptables. Il est incontournable que bon nombre de documents qui nous présentent ces visites sur la lune depuis 1969 sont douteux! ce qui ne s'attaque pas forcément à cette réalité communément admise telle que "l'homme a marché sur la lune". Le fait est que des documents sensés prouver la véracité de ces opérations se montrent contestables, d'autres auraient disparus des archives mêmes de la nasa! On est donc en juste mesure de s'interroger face aux responsables qui dépourvus d'arguments se contentent de refuser en bloc toute remise en question.









Il est dit au début de la présentation du sujet que "marcher sur la lune est la prouesse majeure réalisée par l'homme au XXèmè siècle". Je pense qu'il s'agit là d'une supputation totalement arbitraire qu'il est vraisemblablement possible d'avancer à postériori, alors que s'il avait fallu sonder auparavant les populations et le monde scientifique, cet exploit ne serait apparu parmi les priorités que très exceptionnellement face aux différentes avancées et innovations qui ont vu le jour durant ce siècle. Si aller se balader sur la lune demandait à se concrétiser technologiquement comme cela pourrait avoir été fait, ce me semble être là une ligne de mire pour de sérieux détraqués à l'égo démesuré et assoiffés de pouvoir, précisément ceux (et celles?) qui s'exaltent aujourd'hui à tenter de créer des trous noirs en labo-ratoire).
Le voyage sur la lune était auparavant le terrain fertile des rêveurs, un monde surréaliste offert aux poètes, cet espace là, peu importe la véracité des visites de cosmonautes, a été violé et épinglé sur une table de dissection aux yeux du monde en une grasse, muette et honteuse déception: Il s'agit d'un cailloux mort flottant dans le vide qui peut tout au plus faire office de plaine de jeu à coups de milliards de $ pour quelques gamins gâtés et sur-responsabilisés de la nasa. La poussière et les cailloux morts qu'on y trouve n'ont, jusque dans leur structure atomique, rien d'exceptionnel ou d'intéressants, puisque on vous le dit!


Les astronautes de Appolo vont ils jurer sur la bible qu'ils y ont bien étés? 2 sur 7 l'ont fait!!!
http://video.google.ca/googleplayer.swf?docid=-7617212431732966410&hl=fr&fs=true

Capricorn "one" de Peter Hyams (1978) raconte l'histoire d'une mission bidon sur Mars dans un futur aujourd'hui dépassé, retransmise en direct au monde éblouis. Les astronautes ne savent pas à quoi ils sont mêlés mais découvrent petit-à-petit le mauvais goût de la situation. J'ai vu ce film vers mes 15 ans et depuis je suis +/- sceptique sur les exploits d'Apollo. J'étais petit enfant en 1969 et c'est pour l'occasion que ma famille comme des milliers d'autres, s'est acheté sa première télé, pour ne pas louper cette grande communion! C'était l'avènement d'un nouveau dieu! Ce film fût pour moi le premier briseur du mythe.











Pour l'avoir revu plus récemment, il ne me semble pas avoir trop pris dans l'aile,
Le rythme est soutenu malgré une poursuite finale très longue dans le décor d'un parc naturel aux allures plus que lunaires et qui semble métaphorer quelque-chose...

Durant une conversation en direct avec son épouse présente au centre de commande de la nasa, alors qu'il joue la comédie imposée (l'aller vers Mars), le commandant Brubacker laisse échapper un discret indice en évoquant le parc naturel pour signifier à son épouse que something is wrong, le film à sa façon n'en fait-il pas de même?

2 ans après sa sortie, Kubrick lâche son The shining (1980) où il ne se prive pas d'allusions à Apollo 5. Le cinéma est un outil méconnaissable vu du côté occulte et Kubrick semblait maîtriser cette aspect. Toujours est-il que Peter Hyams a réalisé en 1984 la suite de "2001 Odyssée de l'espace" de Kubrick (1968), qu'il y aurait donc une sorte de filiation ... (?)

Si le film peut sembler dénoncer le fake d'Apollo sur la lune, ce n'est pour le moins pas très discret! et on ne dénonce pas de cette façon, ou alors, tout seul dans son coin!
Il peut par contre servir de contre-argument, dans le sens:
"tu mets en doute Apollo mais ce n'est qu'un scénar pour un film, la preuve:..."

Donc voilà, pour ou contre, Capricorn-one reste du domaine du "bien trouvé" et mené rondement avec des comédiens pros, un vrai-faut-décor, un happy-end et tout et tout!
Welles (& Wells!) se sont montrés bien crédibles en 1938 avec "War of the worlds" écrit en 1898. En 1901 H.G. sortait "First men in the moon" ... Il est mort en 1946.
http://bistrobarblog.blogspot.fr/2015/11/dossier-espace-
partie-2.html